Peu1mpor’tobre

Octobre et cette bonne vieille habitude de se lancer dans des projets ambitieux le 1er, de se foirer quelques jours plus tard et de culpabiliser le reste du mois… Et comme 2020 est une année formidable, elle ne fait pas exception, évidemment.

J’ai déjà dit que j’étais un peu arrivée au bout des défis de dessin aussi ?
Bien sûr, ils ont des avantages : l’émulation avec la communauté, cette avalanche d’initiatives personnelles – encore plus cette année – et ce coup de fouet de motivation au départ…

Mais vraiment, plus j’y pense et plus je me dis que ça n’est pas fait pour moi.

Tout au long de cette année, j’ai essayé de prendre des chemins de traverse pour m’adapter à ces initiatives plutôt exigeantes…

… Et le bilan n’est pas fameux.

J’ai compris des choses et je réalise que je n’ai pas envie, finalement, de me tortiller pour correspondre à quelque chose qui ne me va pas.

Révolutionnaire, hein ?

Mon but pour cette année, c’était de remplir ce petit carnet. C’est raté, malheureusement. J’en suis à 5/24 mais ça m’est un peu égal parce que j’ai bien aimé ce projet et que j’ai vraiment envie de le terminer, même si c’est en novembre ou même en 2021. Je regarde en arrière et je sais que je peux le faire alors… La suite au prochain épisode ! 😉

Inktober 2019

#Inktober, ceux qui y étaient savent.
J’avais un plan.
Ha ! Tu vois où je veux en venir ?

Le 1er, après bien des revirements d’humeur, je pensais être relativement prête. 31 dessins à l’encre au cours du mois, la liste officielle pour ne pas trop réfléchir et un thème perso pour ne pas trop s’ennuyer.
Et surtout, l’autorisation expresse d’avoir recours à tous les subterfuges, à toutes les tricheries, pour simplement arriver au bout. Voire même, seulement à mi-parcours.

Comme toujours, je suis partie fort. L’idée c’était de produire une sorte de carnet de voyage imaginaire, au fil des indications de la liste officielle. Et j’étais plutôt satisfaite de cette première tentative.

Le matin du deuxième jour, déjà, le mur. Impossible de sortir quoi que ce soit. Je regarde mon bureau avec anxiété, je ne m’autorise pas à faire autre chose et je décide de me laisser un peu de temps. Parce qu’il vaut mieux que je reprenne en cours de route, que de tout laisser tomber.

Les jours passent et devant mon incapacité à suivre cette si chouette idée, je me résous à changer le plan.
D’abord je réduis le format, ensuite je fais plus simple. Je prends la liste officielle au pied de la lettre et je gribouille le premier truc qui me vient à l’esprit. Je m’applique.

Je suis contente de moi, je reprends confiance.
Je trouve que ça a de la gueule.

Arrivée au numéro 5, la machine s’emballe à nouveau. Dès le départ, j’avais prévu de passer les dimanches, un procédé que je trouvais équilibré puisque je ne choisissais pas quels thèmes allaient disparaître.
A nouveau à jour, je prévois donc, le lundi suivant, de corser le jeu.

Monumentale erreur.
Finalement, j’ai décidé de ne pas terminer numéro 7 puisqu’il m’est bien plus utile sous cette forme, pour me rappeler à quel moment je me suis gaufrée. A partir de là, impossible de repartir encore une fois.

Je laisse les jours défiler jusqu’à la fin du mois… Et puis, à la faveur d’un changement d’air, sans y croire, les blobs me sauvent encore une fois.

Le pire, c’est que je les adore. Pourquoi n’y ai-je pas pensé dès le début ?
Plus important encore, quelles leçons tirerai-je de cette expérience l’année prochaine ? L’avenir me le dira.
En attendant…

Inktober 2019 : 11/31, pas mal.

Inktober 2017

J’étais pas qu’un peu dans les starting blocks, cette année !
J’avais acheté mon petit papier, fais des essais d’encrage et rêvé tout en admirant certaines participations des années passées…

Et puis, rien. Ou presque.
Voyant l’échec cuisant se profiler, j’ai bien essayé de relancer la machine grâce à la chouette initiative de l’Inktobeginners, notamment… Mais rien à faire.

Inktober 2017 : 3/31, fail.

Inktober 2016

Je fais à peine mieux que l’année dernière. Cela dit, j’ai produit un ou deux trucs dont je suis contente.

Je me suis rapidement rendue compte que si l’idée du thème journalier était sympa, ceux annoncés par Jake Parker ne me parlaient pas autant que je l’avais d’abord espéré. Et puis, sans surprise, j’ai décroché à la vitesse de la lumière.

Inktober 2016 : 11/31, record à battre.

Inktober 2015

Ça faisait des années que je regardais passer l’inktober avec envie…
En 2015, j’ai participé pour de bon… Même si ma motivation n’a guère tenu plus d’une semaine. Je suis quand même fière de moi.

Inktober 2015 : 8/31